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Amour, émeute et cuisine
Amour, émeute et cuisine
  • Quelques pensées sur la civilisation, considérée dans ses aspects politiques, "philosophiques", et culinaires, entre autres. Il y sera donc question de capitalisme, d'Empire, de révolte, et d'antiterrorisme, mais aussi autant que faire se peut de cuisine.
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31 décembre 2018

Yellow winter songs : L'insurrection qui tient

L'insurrection qui tient

J’ai tout cassé les Monoprix
et j’ai brûlé tous les Franprix
et comme Macron ne disait rien
j’ai recommencé le refrain.
J’ai descellé tous les pavés
et j’ai trouvé où les jeter.
J’ai renversé toutes les bagnoles qui stationnaient chez les bourgeois

Fallait pas me traiter de voyou
Dire que j’étais infiltré
Si tu dis que des mensonges
Je reviendrai la semaine prochaine

J’ai tout démonté les chantiers
j’ai étalé ges grafitti
j’ai tout brisé les belles vitrines.
J’ai déchiré les relevés de compte
j’ai tout haché menu menu
l’économie c’est bien fini.
J’ai repeint tous les policiers, j’ai bien bloqué tous les rond-points

Fallait pas me traiter de voyou
Dire que j’étais infiltré
Si tu dis que des mensonges
Je reviendrai la semaine prochaine

J’ai tout renversé les poubelles,
j’ai allumé des incendies
j’ai fait gazer tout le 8e qui s’en souviendra pour la vie

Fallait pas me traiter de voyou
Dire que j’étais infiltré
Si tu dis que des mensonges
Je reviendrai la semaine prochaine

Si tu dis que des mensonges
Je reviendrai la semaine prochaine

Toi, le premier de cordée & L’insurrection qui tient ont précédemment été publiées sur le site de Lundi Matin

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31 décembre 2018

Yellow winter songs : Vivre libre sans compter

Vivre libre sans compter

Je veux brûler les relevés de compte
les jeter dans la cheminée
Je veux arrêter de noter
de soustraire et d’additionner

Avec l’épargne on devient fou
chaque calcul est une torture
Je veux libérer mon cerveau
de tous ces chiffres que j’endure

Me débarrasser de vos lois
l’économie c’est pas pour moi
vivre libre, sans compter

Je veux rouler toute la nuit
manger dehors et en reprendre
je veux offrir ce qui me plaît
ne jamais garder le ticket

L’économie est une prison
chaque mouvement est difficile
je veux m’étirer de mon long
me battre pour la liberté

Me débarrasser de vos lois
l’économie c’est pas pour moi
vivre libre, sans compter

Avec vos salaires c’est facile
de ne pas connaître les fins de mois
Je ne veux plus vous élire
je me gouverne seule et ça va

Je n’ai pas besoin de vous voir
de vous entendre, de vous parler
La fin du monde vient de vos lois
vous feriez bien de le quitter

Me débarrasser de vos lois
l’économie c’est pas pour moi
vivre libre, sans compter

Je ne veux rien négocier du tout
je ne veux rien désamorcer
L’insurrection me plaît beaucoup
la révolution est au bout

Assemblées populaires partout
où tout se décide sans vous
militants de l’économie
votre règne est bientôt fini

Me débarrasser de vos lois
l’économie c’est pas pour moi
vivre libre, sans compter

31 décembre 2018

Yellow winter songs : Toi, le premier de cordée

Toi, le premier de cordée

Toi le premier de cordée
quand on bloque c’est pour toi
Nous les derniers de cordées
on se passerait bien de toi
L’Élysée t’en fais pas
ça coûtera moins cher sans toi
Tu ferais bien de nous lâcher
ou on pourrait t’étrangler

On a bien envie d’un nouvel an sans toi
C’est pas compliqué de comprendre ça
À quoi bon rester si tu es dégoûté
par tout ce qui ne te ressemble pas
On ne te retiendra pas

Toi le premier de cordée
quand on bloque c’est pour toi
Nous les derniers de cordées
on te maudit chaque fois
Que la télé te fait parler,
Que tu crois nous amadouer
Même les mômes de 6 ans
chante tous à la récrée
que tu dois démissionner

Si tu crois que tu vas t’en tirer comme ça
C’est mal nous connaître on ne te dit que ça
Ta prime de Noël et tes cadeaux gratuits
Tu peux te les garder, c’en est bien fini
Tu ne dormiras plus la nuit

Toi le premier de cordée
sois prêt à te faire destituer
Nous les derniers de cordée
on n’aime pas se répéter
Pas la peine de revenir
encore nous baratiner
Fais plutôt tes valises
et celles de ta bien-aimée

31 décembre 2018

Yellow winter songs : La rue ou rien. Il est trop tard pour être calme

La rue ou rien. Il est trop tard pour être calme

Merci de laisser l’État dans les toilettes où vous l’avez trouvé / Qui gouverne ment / Macron, Le Pen, Mélenchon, dégagez tous / On débattra quand on vous aura tous virés / Les vrais casseurs sont chefs d’État / Ils veulent nous forcer à gouverner, nous ne cèderons pas / Le RIC ne nous intéresse pas / Commander est aussi répugnant qu’obéir / Ne tombez pas amoureux du pouvoir / 68 on s’en fout, on veut 89 / Le capitalisme ne mourra pas de mort naturelle, aidons-le / Vive la commune / Nique le contrat social / Ne soyez jamais rentable / – d’ordonnances, + de vacances / On veut des thunes en attendant le communisme / Le RSA à 5000€ / Nous ne voulons pas le pouvoir, nous voulons pouvoir / Nous sommes la jeunesse qui refuse de traverser la rue / Vivre 2 jrs/semaine & 1 mois/ans, non merci / Retraite à 13 ans / Travailler à aimer plutôt qu’aimer travailler / Logement pour tout·e·s, propriété pour personne / Réquisition des logements vides / On veut tout·e·s un emploi fictif et un logement de fonction / 150€ de + par mois par policier. Et nous ? La matraque dans la gueule ? / Nous aussi on veut des primes de fin de mois quand les flics nous insultent / Nique l’état d’urgence / Un revenu universel inconditionnel / On veut vivre, pas survivre / Contre la marchandise, la gratuité / Partageons les riches / Abolition de la GLI-F4 / Comme les ministres on veut nos retraites après 6 mois de travail / Plutôt au smic que flic / Tant qu’il y aura de l’argent y’en aura pas pour tout le monde / Abolition de l’économie / + de banquise, – de banquiers / Plutôt au rsa que soldat / Les CRS sont pas nos fils !!! Signé : les putes / Sans justice pas de paix / Chaos chez les aristos / Les banquiers doivent banquer / NO borders, NO nations / No borders, only sisters / Transports gratuits, frontières ouvertes / Destruction des Centres de Rétention / Pas de nationalisme dans nos fiertés / Libérez les exilé·e·s et la pilosité / Nique son père le patriarcat / Donnez-nous la PMA, on vous laisse le PMU / Macron, on t’encule pas la sodomie c’est entre amis / À bas la dictature des normaux / Nique ton genre / Délivrons nous du mâle / Retirez votre sexe de mon état civil / Ni côtes de bœuf, ni bottes de keufs / Les coups de matraque sont gratuits, la fac devrait l’être aussi / Ouvrez des facs, supprimez la BAC ! / Béni soit l’avortement / Les femmes n’ont pas eu le droit de vote en votant / Zbeul féministe / Nous sommes de celles qui s’organisent : on ne repassera plus jamais vos chemises / Soyez éco-responsables bouffez du riche ! / La révolution sera sans gluten / N’oubliez pas que vous pouvez quitter votre boulot et votre mari / Enfouissons les flics plutôt que les déchets / Non aux émissions de gaz lacrymo / La ville est à ceux qui l’habitent pas aux publicitaires / On veut le beurre et l’argent d’uber.

Il est trop tard pour être calme
Bien trop tard pour être calme

30 décembre 2018

2019, que des bonnes révolutions

2019 que de bonnes révolutions2019, que des bonnes révolutions

 

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19 décembre 2018

14 juillet 1789 : des casseurs saccagent un monument historique

14 juillet 1789

14 juillet 1789 : des casseurs saccagent un monument historique

18 décembre 2018

L'insurrection est-elle venue ?

L'insurrection est-elle venue ?

Eric Hazan à propos des gilest jaunes, interviewé par Aude Lancelin dans l'Entretien libre (17 décembre 2018)

17 décembre 2018

Ecologie du terrorisme

Écologie du terrorisme

Le studio de la terreur

De la démence exotique

La situation présente, en France comme un peu partout ailleurs dans le monde, a tout d'une bâtisse en chute libre dont nous sommes prisonniers, et qui ne nous laisse plus guère que deux espèces d'évasions possibles : mourir sous les décombres – comme à Marseille [1] – ou sortir par le haut – comme s'efforcent de le faire ici ou là un nombre toujours grandissant d'insurgés. En attendant, l'évidence veut qu'une telle chute n'en finisse plus de multiplier aussi les déficients mentaux, dont les plus visibles se présentent généralement au cœur du spectacle médiatique en tant qu'inébranlables commentateurs quotidiens de ladite chute – qu'ils soient journaleux sociologues philosophes ou politicards - et les moins visibles en tant que terroristes ou prétendus tels – qu'ils soient islamistes ou simples homicides sans religion. Pour le dire autrement, cette société pseudo-démocratique et réellement impérialo-marchande, dont plus personne n'ose vanter les mérites sans cligner de l’œil, génère elle-même, de par sa misère propre, les seconds, et elle paye les premiers afin qu'ils en interprètent mensongèrement l'existence : il n'est pas nécessaire en effet qu'un acte dit « terroriste » soit le résultat d'un complot d’État pour que l'emploi médiatico-politique qui en est fait soit quant à lui parfaitement indécent et manipulateur.

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Toute civilisation criminelle a besoin d'un effroyable ennemi face auquel elle ne pourra manquer de passer pour plus acceptable, raisonnable, et bien entendu démocratique ; le terroriste est présentement cet ennemi idéal. C'est pourquoi le spectacle s'empresse toujours bientôt d'enfermer dans cette catégorie quiconque porte atteinte à une vie humaine dans nos rues, en particulier si il est musulman, puisque assurément, pense-t-on, on y gagnera toujours à accorder quelque exotisme à l'affaire. L'exotisme a ceci de spécifique en effet que, si il peut être encore assez souvent d'une grande valeur aux yeux de l'homo-marchandise en vacances à l'étranger, il est assez aisément perçu comme un danger aux yeux de ce même homo-marchandise dès lors qu'il se présente à lui dans les rues de sa propre cité. L'importante médiatisation de l'imbécile théorie du « grand remplacement », dont les vieilles têtes de cadavres Camus Houellebecq et Zemmour, entre autres, sont les apôtres dévoués, en atteste suffisamment. Ce n'est jamais tant toutefois l'origine réelle dudit terroriste qui importe, que la catégorie artificielle dans laquelle peut l'enfermer la sémiotique impérialo-marchande qui, dans le cas qui nous occupe, n'est guère plus que le langage policier du signalement officiel, où le tueur de masse déficient mental devient islamiste et l'inepte raciste devient ultra-droitiste, mais aussi où l'opposant politique quelque peu conséquent devient gauchiste voire parfois islamo-gauchiste, et l'insurgé conscient un casseur un pillard ou un ultra-gauchiste dès lors qu'il passe pour plus organisé. Aussi l'Empire-marchand fait-il régulièrement entrer tout ce petit vocable « exotique », simultanément ou non suivant des nécessités stratégiques qui lui sont propres, dans la catégorie fourre-tout des « individus appartenant à une association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste ».

De l'intelligence exotique

Il est notable, en particulier, que dans les temps où manquent les névrotiques massacreurs de passants, le spectacle – qui n'ignore plus qu'il ne se maintient que par la peur tant il lui est devenu impossible de se faire aimer – tend à engeôler plus promptement que de coutume dans le fourre-tout susdit une bonne part de ce qui se présente à lui comme une intelligence antagoniste. L'affaire dite de Tarnac en a suffisamment témoigné en 2008. Mais c'est que le terrorisme seul, aux yeux en tout cas de n'importe quel État spectaculaire-marchand, a pour lui d'être assez horrifiant pour justifier l'instauration de lois toujours plus liberticides et sécuritaires, de même qu'une présence policière, voire militaire, sans cesse renforcée : ce qui exige d'être anticipé même par beau temps, l'orage, se doit de l'être plus préventivement encore lorsque le vent se lève, et l'effroi qu'inspire le terroriste trouve justement son prolongement quotidien dans l'omniprésence militaro-policière et son haut potentiel de violence, et ce d'autant plus que la police ne se distingue guère du terrorisme autrement que par la légalité accordée à la violence de ses actes. C'est d'ailleurs pourquoi partout l'existence de l'un vient toujours intensifier et garantir l'existence de l'autre, et vice versa. C'est aussi pourquoi, nous l'avons vu, face à la trop longue absence de meurtriers mentalement déficients – du malheureux ayant soudain pété une durite au profond névrosé tueur de masse en passant par le djihadiste authentique – les services de l’État se devront toujours d'inventer une quelconque cellule ou mouvance terroriste au sein de leurs opposants politiques réels. Ainsi le complotisme du pouvoir en place, bel et bien véritable ici, espère-t-il assez souvent de faire d'une pierre deux coups, d'abord en justifiant et réaffirmant par là sans cesse la nécessité de mettre en œuvre une logique policière et sécuritaire implacable, ensuite en se débarrassant, ne serait-ce que provisoirement, de ses opposants les plus conséquents – qu'à la fin de tels opposants puissent lui faire perdre la face dans un tribunal ou ailleurs lui importe peu ; la calomnie reste, son renversement dans la déconfiture s'oublie [2].

Tarnac 00


De l'intello-démence exotique

Mais le concept de terrorisme est si ouvert, si englobant, du moins dans l'usage qu'en fait l'Empire-marchand, qu'il offre à la sémiotique policière de pouvoir si besoin est n'en forclore pour ainsi dire personne. Aussi la quantité peut-elle s'étendre à l'envie de ces vocables exotiques utilisés afin de provoquer l'inquiétude, et justifier diverses restrictions dans l'existence des personnes abstraitement réduites à ces derniers – de l'interdiction de manifester, par exemple, à l'assignation à résidence. L'apparition d'un vocable particulier dans le champ médiatico-policier dépend évidemment de l'état de la situation à laquelle est confronté le pouvoir : là où l'opposant à l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes ou à l'enfouissement de déchets nucléaire à Bure sera qualifié d'éco-terroriste ou de djihadiste vert, le saboteur de flux économiques sera quant à lui affublé, plus légèrement si on veut, du titre d'anarcho-autonome ou de membre d'une cellule invisible à caractère terroriste. Nous en passons, puisque de toutes façons tout confine ici inlassablement à inventer de nouvelles catégories ayant à répondre à des menaces mouvantes, réelles ou prétendues telles, mais quoi qu'il en soit selon nous très rarement terroristes au contraire de ce que le spectacle veut laisser entendre à travers elles ; la terreur est toujours d’État : elle naît essentiellement de ceci qu'en assujettissant une ou plusieurs personnes à l'une des catégories abstraites susdites, ce dernier les rend « étranges » et par là même dangereux aux yeux de la majorité, et légitime ainsi l'instauration de tous les dispositifs de l'épouvante sécuritaire consacrée au contrôle de toutes et tous - la misère de notre époque veut que le terrorisme et l'anti-terrorisme soient les deux faces d'une même monnaie qui vise à mettre à bas la liberté.

De la possible infortune de l'exotisme

Mais parce qu'aucun État ne peut s'offrir d'enfermer une part trop importante de sa population dans la catégorie générale du terrorisme, le mouvement des gilets jaunes en France a montré une limite a sa sémiotique policière. Aussi a-t-il du se contenter longtemps d'essayer de diviser celui-là en essayant de séparer le bon grain de l'ivraie parmi les révoltés, en opposant le bon gilet jaune au vilain casseur-pillard, et ce toutefois sans pouvoir faire même de ce dernier un terroriste, à cause du trop grand nombre des premiers ayant pris l'habitude de côtoyer les seconds, et surtout parce que les rôles sont bientôt devenu fort souvent interchangeable à l'intérieur du mouvement. Pour le dire simplement, la multiplication des rencontres entre les uns et les autres sur le terrain de l'émeute, qui tend à abolir dans l'action les exotismes abstraits du spectacle, a tôt fait pour beaucoup de reléguer les peurs au loin, et a contraint l'État à se retirer sur une position plus défensive à partir de laquelle il a du montrer son vrai visage, réellement répressif et violent, véritablement terroriste. N'étant cependant pas à une absurdité près, la start-up-nation n'a pas manqué d'englober rapidement tout un chacun dans une conception élargie du management autoritaire. Si nous n'y trouvons plus la notion de terrorisme – celle-ci réapparaîtra bientôt de l'extérieur du soulèvement populaire, à Strasbourg, sous la forme habituelle du déficient mental tueur de rue [3] -, l'accusation très souvent préventive de « participation à un groupement formé en vue de commettre des violences ou des dégradations » garde néanmoins tout le flou nécessaire à une entreprise de dissuasion/répression susceptible de toucher le plus grand nombre. Autrement dit ici aussi l’État a cru bon de bricoler sa loi à partir du dispositif antiterroriste qu'il n'a cessé de développer ces dernières années, dispositif dont le flou est l'une des principales caractéristiques et dont l'objet a toujours été l'écrasement de la révolte et des mouvements sociaux dans leur ensemble.

DGSI

Dans l'Empire-marchand, les dominants, parce qu'ils n'ignorent pas l'illégitimité totale de leur position, sont d'une paranoïa telle qu'elle ne leur offre pas d'envisager celles et ceux qui leur sont socialement inférieurs autrement que comme des ennemis à contenir, ou des terroristes à abattre ; l'abc de la liberté veut que nous visions leur chute et plus encore celle de tous les dispositifs de notre asservissement, dont le terrorisme/antiterrorisme est un parfait exemple.

Léolo, le 17 décembre 2018

 

Notes :

1 – Le 5 novembre 2018, à Marseille, plusieurs immeubles de la rue d'Aubagne s'effondre à cause de leur vétusté, tuant huit personnes.

2 – Le procès de l'affaire dite de Tarnac fut à cet égard exemplaire, puisque les accusés et leurs avocats ridiculisèrent presque tout du long l'accusation comme la DGSI. Qui, toutefois, en aura été authentiquement informé, et, le cas échéant, aura su en tirer les conclusions qui s'imposent concernant le terrorisme et son revers l'antiterrorisme.

3 – Le 11 décembre 2018, à Strasbourg, alors que la révolte des « gilets jaunes » fait grand bruit depuis plusieurs semaines, un homme armé fait feu sur le marché de Noël et tue cinq personnes. Le petit monde médiatico-politique parle presque aussitôt d'attentat terroriste islamique.

13 décembre 2018

La planète brûle, à quand l'Elysée !?

La planète brûle

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12 décembre 2018

En GAV : "Je n'ai rien à déclarer."

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